8 mai 2009
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" L'homme a besoin d'être écorché pour faire son éducation. "
GOETHE
à Jean-Claude,
Seul, face-à-face avec Dieu, dans la solitude du coeur, il est là, toujours présent dans l'immuable été ensoleillé de pourpres jacinthes. Gardien d'un Temple consacré à Dieu, - la Divine sapience sans âge -, il nous regarde avec une joie festive, la main craquelée par les ans farouches, quémandant une pièce d'Amour pour un repas de gala et un verre harmonieux chantant l'éternelle ritournelle du retour cyclique du même.
Lui seul détient la Clef d'Argent de ce Temple béni de Dieu. Lui seul nous donne accès à l'Esprit des textes sacrés enrubannés par une musique angélique dans la clarté des aubes rougeoyantes. Son regard ne juge, ni ne condamne, il sait que lui seul réintégrera le Royaume, et que Dieu, à travers son regard embué par les peurs du lendemain, nous jauge nous et nos errements sur les sentes et ravines de notre existence terrestre.
L'ombre, la lumière ; l'obscur, l'éclat argentin du soleil ; la fange ignominieuse, les sommets éternellisés ; lui seul sait ce qui adviendra de nos âmes qui ont chu un jour d'été alors que la Ville de la Paix nous avait accueillis dans ses ruisseaux d'Or et de Diamants pour connaître les joies apolliniennes du paradis terrestre.
Il mendie car il s'est fait dans la grâce le Gardien du Temple sous l'ordre de Dieu. Celui ou celle qui, entrant dans ce lieu consacré, corps mystique du Christ-Roi, du Christ-Logos, du Christ-Dieu, le dédaignera sera exclu de la communauté des Anges diaphanes, des Archanges de feu, des Vertus et des Trônes, de l'Armée Céleste sous les ordres de Michaël Archange.
Il nous bénit par sa présence extatique et les prêtres le savent, eux qui commentent les Saintes Ecritures.
à Jean-Claude,
Seul, face-à-face avec Dieu, dans la solitude du coeur, il est là, toujours présent dans l'immuable été ensoleillé de pourpres jacinthes. Gardien d'un Temple consacré à Dieu, - la Divine sapience sans âge -, il nous regarde avec une joie festive, la main craquelée par les ans farouches, quémandant une pièce d'Amour pour un repas de gala et un verre harmonieux chantant l'éternelle ritournelle du retour cyclique du même.
Lui seul détient la Clef d'Argent de ce Temple béni de Dieu. Lui seul nous donne accès à l'Esprit des textes sacrés enrubannés par une musique angélique dans la clarté des aubes rougeoyantes. Son regard ne juge, ni ne condamne, il sait que lui seul réintégrera le Royaume, et que Dieu, à travers son regard embué par les peurs du lendemain, nous jauge nous et nos errements sur les sentes et ravines de notre existence terrestre.
L'ombre, la lumière ; l'obscur, l'éclat argentin du soleil ; la fange ignominieuse, les sommets éternellisés ; lui seul sait ce qui adviendra de nos âmes qui ont chu un jour d'été alors que la Ville de la Paix nous avait accueillis dans ses ruisseaux d'Or et de Diamants pour connaître les joies apolliniennes du paradis terrestre.
Il mendie car il s'est fait dans la grâce le Gardien du Temple sous l'ordre de Dieu. Celui ou celle qui, entrant dans ce lieu consacré, corps mystique du Christ-Roi, du Christ-Logos, du Christ-Dieu, le dédaignera sera exclu de la communauté des Anges diaphanes, des Archanges de feu, des Vertus et des Trônes, de l'Armée Céleste sous les ordres de Michaël Archange.
Il nous bénit par sa présence extatique et les prêtres le savent, eux qui commentent les Saintes Ecritures.