4 octobre 2009
7
04
/10
/octobre
/2009
05:38
Les espaces incandescents de la folle dérive incarnate
Soulèvent les portes altruistes du Temple aurifère
Dans les atmosphères bleutées des roses ingrates
Aux fragrances enjôleuses, aux accents orgueilleux de la Divine Terre
Les enfants de l'angoisse empourprés d'une fièvre jaunâtre
Parcourent les Cités de métal criant l'alerte générale
Dans un tumulte endiablé aux crises rosâtres
Ensorcelant les délires de la fiancée mystique du Graal
Nous sommes les Anges des destinées obscures
Eclairant le monde argentin de nos clairvoyances luminescentes
Adoptant les éclairs parfumés et la foudre impure
Au milieu d'un capharnaüm de pourpre sapience transcendante
Les ronces du désespoir en espérance matutinale
Arrachent les rêves translucides des êtres humains
Violant le Pacte Divin scellé dans le marbre automnal
Un jour de déluge infernal sur les côtes d'airain
Je basculais dans les tripots esclavagistes du monde
A la recherche de la Pierre Philosophale liquoreuse
Fouillant les méandres ensauvagés de l'immonde
Espérant ouvrir les portes ensoleillées de l'ivresse heureuse
Le temps, transcendé dans son espace clos émerveillé,
Ruissela sur les êtres de lumière affolés
Concassant la mer de nos destinées éthérées
Dans un chant symphonique aux exultations apaisées
Dans l'au-delà des univers aux fiertés chromatiques
Les Résistants auréolés de la Divine lumière aromatique
Guerroyaient contre les folles journées de Sabbat harmonique
Délivrant leurs frères poisseux écrasés sous le poids de la trique
Babylone l'orgueilleuse cité aux fantasmes délétères
En appela à Ur la ville des lumières de Sumer
Pour abattre nos frères d'Ispahan perdus dans les fers
En survie dans les rages aux hallebardes suicidaires
Nous vainquîmes à la pointe de l'aurore subliminale
Les guerriers de l'enfer mésopotamien ardent
Et la Terre perdue aux confins des larmes en cavale
S'illumina dans le bleu hivernal des esprits combattant
La pluie d'acier s'éteignit et les nuages disparurent
Laissant la coulée Divine éclairer les cieux
Pour le plaisir des yeux des pâtres de l'azur
Emoustillés par les joies extatiques de la Paix des Preux
Soulèvent les portes altruistes du Temple aurifère
Dans les atmosphères bleutées des roses ingrates
Aux fragrances enjôleuses, aux accents orgueilleux de la Divine Terre
Les enfants de l'angoisse empourprés d'une fièvre jaunâtre
Parcourent les Cités de métal criant l'alerte générale
Dans un tumulte endiablé aux crises rosâtres
Ensorcelant les délires de la fiancée mystique du Graal
Nous sommes les Anges des destinées obscures
Eclairant le monde argentin de nos clairvoyances luminescentes
Adoptant les éclairs parfumés et la foudre impure
Au milieu d'un capharnaüm de pourpre sapience transcendante
Les ronces du désespoir en espérance matutinale
Arrachent les rêves translucides des êtres humains
Violant le Pacte Divin scellé dans le marbre automnal
Un jour de déluge infernal sur les côtes d'airain
Je basculais dans les tripots esclavagistes du monde
A la recherche de la Pierre Philosophale liquoreuse
Fouillant les méandres ensauvagés de l'immonde
Espérant ouvrir les portes ensoleillées de l'ivresse heureuse
Le temps, transcendé dans son espace clos émerveillé,
Ruissela sur les êtres de lumière affolés
Concassant la mer de nos destinées éthérées
Dans un chant symphonique aux exultations apaisées
Dans l'au-delà des univers aux fiertés chromatiques
Les Résistants auréolés de la Divine lumière aromatique
Guerroyaient contre les folles journées de Sabbat harmonique
Délivrant leurs frères poisseux écrasés sous le poids de la trique
Babylone l'orgueilleuse cité aux fantasmes délétères
En appela à Ur la ville des lumières de Sumer
Pour abattre nos frères d'Ispahan perdus dans les fers
En survie dans les rages aux hallebardes suicidaires
Nous vainquîmes à la pointe de l'aurore subliminale
Les guerriers de l'enfer mésopotamien ardent
Et la Terre perdue aux confins des larmes en cavale
S'illumina dans le bleu hivernal des esprits combattant
La pluie d'acier s'éteignit et les nuages disparurent
Laissant la coulée Divine éclairer les cieux
Pour le plaisir des yeux des pâtres de l'azur
Emoustillés par les joies extatiques de la Paix des Preux