17 septembre 2009
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Le jardin paradisiaque des douces destinées
A ouvert ses portes étoilées au sein de l'univers
Eclairant de voluptueuses sapiences éthérées
Le coeur de notre êtreté scintillante offert
Nous parcourions les temps sublimes des ères heureuses
Dans les maelströms de poussières violettes
Offrant aux inconnus enbleutés nos âmes peureuses
Pour le bien d'une humanité éteinte et ouverte
Les violons de l'amour et les guitares de la paix
Volaient dans l'éclair de l'été ensorcelé
Et les batteries aux ajoncs violets éclataient
Dans le ciel aux merveilles retrouvées
L'invisible devenait visible et les anges s'incarnaient
Dans un monde ajouré où les pleurs s'éteignaient
Au-delà des rêveries opiacées des scarabées
Aux Ors multicolores batifolant dans les plaines ensourcées
Les Dieux des marées luminescentes au bord des terres
S'élevaient dans une transcendance aurifère
Appelant les initiés des vertes années d'éther
Au voyage trans-spatial dans les paradis verts
Les métamorphoses de l'âme incandescente
Survolaient les monts de la destinée inviolée
Et les neiges éternelles irradiaient nos présents
Dans les marécages subliminaux incarnés
La douce mélancolie put s'éteindre dans les sapiences
Alors que les terres éternelles brillaient d'agates
Dans les cieux illuminés de Divines patiences
Ocres de plaisirs extatiques aux ocelles d'albâtre
Les poumons de l'espérance aspiraient le feu de la délivrance
Dans les airs de la déchirance en jachères
Cherchant le Grand Midi au-delà de la décadence
Là où Nietzsche forgea son Grand Ministère
Nous étions libres de tout dans les herbes vagabondes
Et nous étions égaux dans la ronde nuptiale
Eclairant vos pas délivrés autour des mondes
Pour votre bonheur rougeoyant d'un éclat fractal
La Révolution Divine tourbillonna dans les univers parallèles
Et la Vérité éternelle devint notre pain d'aujourd'hui
Notre troisième oeil explosa les eaux vermeilles
De notre vie divine infinie s'élevant dans le ciel bénit
A ouvert ses portes étoilées au sein de l'univers
Eclairant de voluptueuses sapiences éthérées
Le coeur de notre êtreté scintillante offert
Nous parcourions les temps sublimes des ères heureuses
Dans les maelströms de poussières violettes
Offrant aux inconnus enbleutés nos âmes peureuses
Pour le bien d'une humanité éteinte et ouverte
Les violons de l'amour et les guitares de la paix
Volaient dans l'éclair de l'été ensorcelé
Et les batteries aux ajoncs violets éclataient
Dans le ciel aux merveilles retrouvées
L'invisible devenait visible et les anges s'incarnaient
Dans un monde ajouré où les pleurs s'éteignaient
Au-delà des rêveries opiacées des scarabées
Aux Ors multicolores batifolant dans les plaines ensourcées
Les Dieux des marées luminescentes au bord des terres
S'élevaient dans une transcendance aurifère
Appelant les initiés des vertes années d'éther
Au voyage trans-spatial dans les paradis verts
Les métamorphoses de l'âme incandescente
Survolaient les monts de la destinée inviolée
Et les neiges éternelles irradiaient nos présents
Dans les marécages subliminaux incarnés
La douce mélancolie put s'éteindre dans les sapiences
Alors que les terres éternelles brillaient d'agates
Dans les cieux illuminés de Divines patiences
Ocres de plaisirs extatiques aux ocelles d'albâtre
Les poumons de l'espérance aspiraient le feu de la délivrance
Dans les airs de la déchirance en jachères
Cherchant le Grand Midi au-delà de la décadence
Là où Nietzsche forgea son Grand Ministère
Nous étions libres de tout dans les herbes vagabondes
Et nous étions égaux dans la ronde nuptiale
Eclairant vos pas délivrés autour des mondes
Pour votre bonheur rougeoyant d'un éclat fractal
La Révolution Divine tourbillonna dans les univers parallèles
Et la Vérité éternelle devint notre pain d'aujourd'hui
Notre troisième oeil explosa les eaux vermeilles
De notre vie divine infinie s'élevant dans le ciel bénit