20 juillet 2009
1
20
/07
/juillet
/2009
16:24
Le monde enjoué s'éveille dans une lueur opaline
Virevoltant dans les cieux aux formes adamantines
L'homme de la peine traînaille dans les terres humides
Sa besace plantée dans ses entrailles fétides
Les lendemains rubiconds saignent aux antipodes
Là où l'univers s'assemble comme un gastéropode
Pour le plaisir obscur des ocelles galbés
De nos frères perdus dans les monts ajourés
Le soleil multicolore s'évanouit dans les merveilles temporelles
Le cosmos réfléchit nos coeurs épris d'actuel
Dieu est le guide translucide de nos misères
Parcourant les océans bleutés aux relents de guerres
Dans les fougères-thanatos aux tendres douceurs-éros
Il s'enorgueillit de paix au Mont Athos
Eveillant les moines de l'aurore qui vient
Dans un tourbillon extatique qui nous tient
Au coeur d'un été de glace où transpire la haine
Je trépigne d'impatience dans les atermoiements aux dures rengaines
L'au-delà cligne d'un spasme magique
Dans nos certitudes de colères cliniques
Nous sommes les héros d'un conte moderne
Aux évanescences sublunaires perdues dans le terne
Pussions-nous ajourner les guerres aurifères !
Dussions-nous arrêter les machines de fer !
Le monde incarnat s'éveille dans les vortex
Et, dans les nuits noires de nymphéas, s'agitent nos cortex
La folie contemplative use nos âmes troublées
Là où les villes-métal se taisent au coeur des cités
Un jour d'incertitude, l'homme s'élèvera
Dans les pourpres sapiences des au-delà
Le navire terre vogue dans l'éther
L'homme se noie dans ses parterres
Viendra le jour de la délivrance vermeille
Le temps se figera au coeur de l'Eternel
Virevoltant dans les cieux aux formes adamantines
L'homme de la peine traînaille dans les terres humides
Sa besace plantée dans ses entrailles fétides
Les lendemains rubiconds saignent aux antipodes
Là où l'univers s'assemble comme un gastéropode
Pour le plaisir obscur des ocelles galbés
De nos frères perdus dans les monts ajourés
Le soleil multicolore s'évanouit dans les merveilles temporelles
Le cosmos réfléchit nos coeurs épris d'actuel
Dieu est le guide translucide de nos misères
Parcourant les océans bleutés aux relents de guerres
Dans les fougères-thanatos aux tendres douceurs-éros
Il s'enorgueillit de paix au Mont Athos
Eveillant les moines de l'aurore qui vient
Dans un tourbillon extatique qui nous tient
Au coeur d'un été de glace où transpire la haine
Je trépigne d'impatience dans les atermoiements aux dures rengaines
L'au-delà cligne d'un spasme magique
Dans nos certitudes de colères cliniques
Nous sommes les héros d'un conte moderne
Aux évanescences sublunaires perdues dans le terne
Pussions-nous ajourner les guerres aurifères !
Dussions-nous arrêter les machines de fer !
Le monde incarnat s'éveille dans les vortex
Et, dans les nuits noires de nymphéas, s'agitent nos cortex
La folie contemplative use nos âmes troublées
Là où les villes-métal se taisent au coeur des cités
Un jour d'incertitude, l'homme s'élèvera
Dans les pourpres sapiences des au-delà
Le navire terre vogue dans l'éther
L'homme se noie dans ses parterres
Viendra le jour de la délivrance vermeille
Le temps se figera au coeur de l'Eternel