14 juillet 2009
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L'être est mortel et doit l'accepter comme tel. Quand ? Comment ? Où ? De quelle manière ? s'éteindra-t-il, nul ne le sait. Mais une chose est sûre, c'est que nous vivons dans l'entropie de notre topique créant du non-sens, du non-dit partout et toujours.
Perdurent les mondes intérieurs dans un lieu cérébralement infini où l'absolu fornique avec le relatif. Le fracas multiple des musiques tintinnabulantes dans le néo-cortex signifiant claquemure l'espace tout en l'illimitant dans une recherche cosmique de l'immanence contenue dans le transcendant qui a lieu en soi, en l'Etre.
Dispensez de l'amour autour de vous le plus possible tout en sachant que cela n'a pas pour but une réciprocité immédiate, mais un continuum réflexif apportant aux êtres un équilibre stable dans l'instabilité de leur être.
Prenez connaissance de votre ignorance et alors le monde s'ouvrira à vous dans toute son étendue ineffable.
Doit-on dire aux autres ce que nous sommes sachant pertinemment que nous ne le savons pas.
La Liberté, ça se conquiert par et dans l'esprit.
L'important n'est pas la quantité, mais la qualité en toutes choses.
Le temps fuse, jaillit, bondit hors du temps pour devenir l'espace d'un temps le temps du temps qui ne sera plus le temps d'avant. Le temps s'écoule librement en temps voulu dans un espace-temps intemporel.
L'espoir, l'espoir, l'ESPOIR qu'un jour, demain peut-être, l'homme s'assagira pour créer, inventer, construire, bâtir un monde sans entraves, sans douleurs, sans larmes, sans pleurs, sans haines, sans guerres. Ce jour sera le début d'une ère de paix heureuse, altière et libre de forces créatrices nouvelles. L'homme se réconciliera avec lui-même, le cosmos, et sera...!
Qu'est-ce qu'un homme politique qui détient un pseudo-pouvoir ? Un homme qui avance à tâtons dans le noir et qu'on pousse.
On échafaude des hypothèses sur des sujets multiples. On pense, on réfléchit, on dissèque, on analyse. Allez savoir pourquoi ? On lit, on s'instruit sur tout, sur rien, sur l'infini, le fini, et on arrive à de multiples conclusions logiques, illogiques, futiles ou non. Le cerveau est une machine à penser, les neurones s'entrechoquent, les synapses libèrent des messages clairs ou obscurs ; on va de l'avant, de l'arrière. Des mémoires apparaissent : elles sont archaïques, novatrices, fonctionnelles, innées, acquises ; le passé est là présent, instantané, protéiforme, se développant dans tous les sens. C'est cela la réversibilité du temps. On ne peut rien retenir et retenir tout.
Perdurent les mondes intérieurs dans un lieu cérébralement infini où l'absolu fornique avec le relatif. Le fracas multiple des musiques tintinnabulantes dans le néo-cortex signifiant claquemure l'espace tout en l'illimitant dans une recherche cosmique de l'immanence contenue dans le transcendant qui a lieu en soi, en l'Etre.
Dispensez de l'amour autour de vous le plus possible tout en sachant que cela n'a pas pour but une réciprocité immédiate, mais un continuum réflexif apportant aux êtres un équilibre stable dans l'instabilité de leur être.
Prenez connaissance de votre ignorance et alors le monde s'ouvrira à vous dans toute son étendue ineffable.
Doit-on dire aux autres ce que nous sommes sachant pertinemment que nous ne le savons pas.
La Liberté, ça se conquiert par et dans l'esprit.
L'important n'est pas la quantité, mais la qualité en toutes choses.
Le temps fuse, jaillit, bondit hors du temps pour devenir l'espace d'un temps le temps du temps qui ne sera plus le temps d'avant. Le temps s'écoule librement en temps voulu dans un espace-temps intemporel.
L'espoir, l'espoir, l'ESPOIR qu'un jour, demain peut-être, l'homme s'assagira pour créer, inventer, construire, bâtir un monde sans entraves, sans douleurs, sans larmes, sans pleurs, sans haines, sans guerres. Ce jour sera le début d'une ère de paix heureuse, altière et libre de forces créatrices nouvelles. L'homme se réconciliera avec lui-même, le cosmos, et sera...!
Qu'est-ce qu'un homme politique qui détient un pseudo-pouvoir ? Un homme qui avance à tâtons dans le noir et qu'on pousse.
On échafaude des hypothèses sur des sujets multiples. On pense, on réfléchit, on dissèque, on analyse. Allez savoir pourquoi ? On lit, on s'instruit sur tout, sur rien, sur l'infini, le fini, et on arrive à de multiples conclusions logiques, illogiques, futiles ou non. Le cerveau est une machine à penser, les neurones s'entrechoquent, les synapses libèrent des messages clairs ou obscurs ; on va de l'avant, de l'arrière. Des mémoires apparaissent : elles sont archaïques, novatrices, fonctionnelles, innées, acquises ; le passé est là présent, instantané, protéiforme, se développant dans tous les sens. C'est cela la réversibilité du temps. On ne peut rien retenir et retenir tout.